Les SCPI les plus rentables sur le long terme

Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) permettent d’investir dans l’immobilier tout en diversifiant son portefeuille. Avec des rendements attractifs et une gestion mutualisée des actifs, les SCPI sont une solution d’épargne appréciée des investisseurs recherchant un revenu stable et passif.

L’évolution des taux immobiliers : un tremblement de terre pour l’investissement locatif ?

Les taux immobiliers, ces derniers temps, ont connu des fluctuations significatives qui ont considérablement impacté le marché immobilier et, par extension, l’investissement locatif. Pour mieux comprendre les enjeux, il convient d’analyser les différentes phases de cette évolution et leurs conséquences sur les investisseurs. Une hausse fulgurante des taux Après une longue période de taux historiquement … Lire la suite

Michel Barnier : Une Vision d’Avenir pour un Immobilier Durable et Équitable

Michel Barnier, figure incontournable de la politique française et européenne, défend une approche équilibrée de l’immobilier. Entre régulation du marché, lutte contre la précarité et engagement en faveur de la transition écologique, Barnier plaide pour un accès plus équitable au logement. Son ambition : un immobilier au service de la cohésion sociale et du développement durable, tout en garantissant une gestion économique saine.

Les Nouveaux Changements de Lois pour les Locations Saisonnières en France

Les locations saisonnières, souvent synonymes de liberté et de revenus supplémentaires pour les propriétaires, sont sur le point de connaître des changements législatifs importants en France. Voici un aperçu des nouvelles réglementations à venir et de ce que cela signifie pour les propriétaires et les locataires.

Augmentation du capital de la SCPI FICOMMERCE

FIDUCIAL Gérance poursuit le développement de ses SCPI avec la reprise de la collecte de FICOMMERCE qui avait été interrompue par les opérations de fusion.

La SCPI FICOMMERCE est issue du regroupement des SCPI CIFOCOMA 3, CIFOCOMA 4 et FICOMA par fusion-absorption en juin 2013. La société absorbante est CIFOCOMA 3, renommée FICOMMERCE.

Ce regroupement permet à FICOMMERCE de se positionner au deuxième rang des SCPI murs de magasins, avec une capitalisation de l’ordre de 530 millions d’euros et un patrimoine constitué de 389 immeubles représentant une surface globale de 285 000 m².

La stratégie d’investissement est axée sur :

Des actifs neufs, récents ou restructurés et correspondants à l’évolution des normes techniques et environnementales ;

Des centres commerciaux, murs de commerce de centre-ville, commerces de proximité et, dans une moindre mesure, bureaux implantés dans des marchés établis ;

Une vigilance accrue de la solidité des locataires, des durées d’engagement et de l’adéquation des loyers aux valeurs de marché.
FICOMMERCE résultant d’une opération de fusion-absorption rétroactive au 1er janvier 2013, les performances et chiffres présentés concernent la SCPI absorbante CIFOCOMA 3.

Le prix de souscription d’une part de FICOMMERCE est fixé à 228 €. Le dividende de l’année 2012 fut de 11,75 € par part. Il devrait être équivalent pour l’année 2013 sur FICOMMERCE. Le TRI 2012 à 10 ans est de 10,95 %.

FIDUCIAL Gérance attire l’attention sur le fait que la levée de fonds sera régulée en fonction de la situation du marché de l’investissement et de la capacité de réaliser les investissements suivant les fonds collectés sur FICOMMERCE. Par conséquent, la société de gestion, en accord avec le conseil de surveillance de FICOMMERCE, se réserve le droit de limiter le nombre de parts à souscrire ou de suspendre la collecte.

 

http://www.gestiondefortune.com/immobilier/rubriques-immobilier/2847-augmentation-du-capital-de-la-scpi-ficommerce.html

Réussir son investissement dans des murs de boutiques

L’investissement dans l’immobilier locatif d’habitation a moins la cote auprès des cadres, ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers un autre type d’investissement : les locaux commerciaux.

Lassés par les réformes incessantes de la fiscalité, les contraintes croissantes qui pèsent sur les propriétaires et les relations tendues avec les locataires, sans oublier les risques de dégradation des biens, ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers un autre type d’investissement: les locaux commerciaux.

«C’est une tendance croissante que nous constatons depuis plusieurs années», confirme Charles Marinakis, directeur général adjoint de Century 21 France, qui gère Horeca, le réseau de 60 agences dédiées à l’immobilier commercial. D’autant que le ticket d’entrée est très large: «Il est possible de démarrer un investissement à 100.000 euros et d’aller jusqu’à 10 millions. Ce n’est pas réservé à une élite financière, même s’il est important d’en comprendre les mécanismes de fonctionnement», explique-t-il. Une analyse corroborée par ­Jacqueline Faisant, présidente du directoire de BNP Paribas REIM France. «Le commerce reste résilient et les investisseurs manifestent toujours beaucoup d’intérêt pour ce secteur dynamique, qui a jusqu’alors bien passé les crises.» Depuis le début de l’année, la banque a procédé à des investissements à hauteur de 110 millions d’euros pour le compte de ses deux fonds dédiés (SCPI Pierre sélection et l’OPCI SPF2), notamment dans une enseigne Casino au centre-ville de Bordeaux ou encore dans la ZAC des Bruyères, à Bois-Colombes, dans les Hauts-de-Seine.

Les murs de boutiques, dans lesquels il est possible d’investir, soit en direct, soit à travers des parts de SCPI, offrent un certain nombre d’atouts: des rendements supérieurs à ceux de l’immobilier locatif d’habitation (compris entre 5 et 9%), des baux de longue durée (neuf ans), la possibilité de répercuter davantage de charges sur le locataire  et des impayés de loyers moins fréquents. «Une acquisition en direct est davantage recommandée à ceux qui ont du temps pour gérer ce projet ou qui ont été commerçants. Pour les autres, mieux vaut privilégier les produits de foncières cotées ­spécialisées dans le commerce ou les SCPI», prévient Jacqueline Faisant.

Veiller à l’emplacement

Autre écueil à éviter, ne pas se tromper dans le choix de l’emplacement, synonyme de bon loyer. Les emplacements dits numéro un, comme les artères commerçantes des centres-villes, les zones piétonnes, les alentours d’une station de métro ou d’une gare, la proximité d’une grande enseigne ou les centres commerciaux, sont les plus recherchés (mais aussi les plus diffi­ciles à dénicher). «Ne pas oublier que le commerce est une industrie. Il faut être certain qu’il y aura une activité. Dès que l’on s’éloigne du “chemin des éléphants”, il y a un vrai ­risque de tomber sur des boutiques mal conçues, avec des problèmes d’accessibilité, des vitrines en retrait des trottoirs ou sous des arcades», prévient Jacqueline Faisant.

Autant d’inconvénients qui vont peser sur le rendement des magasins concernés. «L’ennemi du rendement pour l’investisseur est la vacance commerciale ou l’insuffisance financière du commerce, souligne Charles Marinakis. Il est donc essentiel de bien évaluer le taux d’effort, c’est-à-dire le loyer supportable par le commerçant en fonction de son activité. Gare aussi aux extrapolations de chiffres d’affaires qui conduisent à des loyers surévalués, mais qui ne seront pas pérennes.» Il conseille de s’intéresser à des «murs attachés à des fonds de commerce dans des activités traditionnelles telles que les boucheries, boulangeries ou autres commerces alimentaires. La valeur de ces fonds de commerce est un gage de sécurité pour les loyers et de pérennité des affaires».

http://www.lefigaro.fr/immobilier/2013/11/27/05002-20131127ARTFIG00500-reussir-son-investissement-dans-des-murs-de-boutiques.php

Crédit immobilier : le locatif en perte de vitesse

Dans son dernier observatoire du crédit immobilier, Meilleurtaux.com constate une forte chute des investissements locatifs et des achats de résidence secondaire.

Contrastant avec un marché immobilier dont le bilan 2013 s’annonce globalement meilleur que prévu en début d’année, les segments de l’investissement locatif et des résidences secondaires sont en souffrance. Les acquéreurs se sont recentrés sur l’achat de la résidence principale. C’est ce que confirme la dernière édition de l’Observatoire du crédit immobilier du courtier Meilleurtaux.com, présentée le 27 novembre.
Ainsi, en dépit de taux qui restent au plancher, les investissements locatifs dans le volume total des crédits immobiliers financés par le réseau de Meilleurtaux.com, ont chuté de 27 % en 2013 par rapport à 2012, selon les estimations du courtier en crédit. Par rapport à 2011, la baisse atteint même 46 %. En cause : le durcissement et l’instabilité fiscale. Dans le neuf, le dispositif Duflot est jugé peu attrayant par les investisseurs . Dans l’ancien, les particuliers ne savent plus très bien à quoi s’attendre concernant les dernières réformes de l’immobilier et celles à venir , qu’il s’agisse de la loi Alur (encadrement des loyers, garantie universelle des loyers…) ou de la nouvelle taxation des plus-values immobilières, prévue dans le projet de loi de finances 2014 et appliquée depuis le 1er septembre. En outre, relève aussi Hervé Hatt, directeur général de Meilleurtaux.com, « les banques sont un peu plus réticentes en matière de crédit immobilier dans ce domaine. Leurs critères d’octroi sont plus stricts et les taux accordés sont moins attractifs : de l’ordre de + 0,10 % en moyenne par rapport au taux moyen du crédit immobilier accordé pour un achat non locatif ».
Repli des investisseurs sur l’ancien
Dans l’activité de Meilleurtaux.com, la part du locatif est passée à moins de 10 % (9,8 %) de la totalité des crédits négociés en 2013, après 12 % en 2012 et 14,5 % en 2011. Cette baisse des investissements locatifs est plus marquée dans le neuf que dans l’ancien. Même sans coup de pouce fiscal, le marché de l’immobilier ancien est jugé plus séduisant aux yeux des investisseurs locatifs en raison de prix moins élevés et de contraintes moindres concernant les loyers et les conditions de ressources des locataires. Les investisseurs locatifs ne sont que 16 % à privilégier un achat dans le neuf alors qu’ils étaient près de 40 % en 2011, remarque le courtier.
Même constat pour le marché de la résidence secondaire. Le courtier estime ainsi que les volumes de crédit pour résidences secondaires ont baissé en 2013 de 25 % dans l’ensemble de son activité. Au niveau national, seuls 2 % des dossiers financés concernent l’achat d’une résidence secondaire.
A l’échelle de la clientèle parisienne du courtier, la plus encline à acheter une résidence secondaire et à réaliser un investissement locatif, le locatif ne pèse plus que 11 % (contre 21 % en 2012), la résidence secondaire 3 % (5 % en 2012) et la résidence principale 86 % (74 % en 2012).
Pour autant, le montant des prêts négociés par Meilleurtaux.com, de près de 3 milliards d’euros en 2013, à fin septembre, est en hausse de 50 % par rapport à la même période de 2012. Alors qu’à l’échelle du marché immobilier les transactions sont en nombre assez stables en 2013, cette reprise de l’activité crédit de Meilleurtaux.com est liée pour une bonne part aux renégociations de crédits.

http://patrimoine.lesechos.fr/patrimoine/immobilier/actu/0203152555577-credit-immobilier-le-locatif-en-perte-de-vitesse-632891.php

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